- Dwayne Johnson est en pleine forme dans le rôle-titre de « Black Adam ».
- II incarne une divinité pas vraiment commode dans ce spin-off de « Shazam ! ».
- Ce film spectaculaire mérite vraiment d’être dégusté sur grand écran.
Ce n’est que quelques heures avant la sortie en salle ce mercredi que la presse a pu découvrir Black Adam de Jaume Collet-Serra en avant-première publique dans la salle bondée du Grand Rex, à Paris. Une ambiance survoltée et des fans au bord de la crise de nerfs ont prouvé que les aventures de Dwayne Johnson en divinité colérique ont tout ce qu’il faut pour faire revenir massivement le public en salle.
Une bande de super justiciers (menée par Pierce Brosnan en Dr Fate) doit calmer le dieu plutôt vénère après avoir été réveillé par une rebelle alors que sa contrée de Kahndaq est envahie par des militaires à la recherche d’une couronne magique. 20 Minutes explique pourquoi ce spin-off de Shazam ! fait le job malgré ce pitch tarabiscoté.
Des héros super et connus
Le scénario n’est pas l’atout principal de Black Adam mais, à entendre les hurlements de joie dans la salle, cela compte peu comparé à l’enthousiasme de reconnaître des héroïnes et des héros aux costumes rutilants. On a d’ailleurs failli perdre définitivement l’ouïe au moment de la séquence post-générique qui réserve une surprise de taille.
Dwayne Johnson est divin
On ne le dira jamais assez mais le charisme de Dwayne Johnson, très à son aise en ex-esclave devenu divin et indestructible, fait des étincelles sur grand écran ! Faux méchant, pas tout à fait gentil, il éclaire le film de sa présence et ça tombe bien parce que le public est là pour lui. Ce type-là est une vraie star et ne le laisse pas ignorer.
De la baston extra-large
Jaume Collet-Serra, qui avait déjà dirigé Dwayne Johnson dans Jungle Cruise, s’y entend pour orchestrer des bagarres qui rappellent les cases des DC Comics. Tous ces héros aux pouvoirs super se tapent dessus quasi non-stop avec un entrain évident en démolissant tout sur leur passage. On a un faible pour Atom Smasher (Noah Centineo) dont la taille à géométrie variable cause bien des dégâts.
Une expérience collective
L’un des bonheurs de ce type de divertissements spectaculaires est qu’il favorise la complicité entre les spectateurs. Le public de l’avant-première prenait plaisir à crier « Shazam ! » avec Dwayne Johnson comme l’auraient fait des gamins devant un spectacle de Guignol. Black Adam mérite vraiment d’être vu en salle pour vivre cette expérience collective.
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