Après le vitiligo, qui a affecté une partie de sa barbe, l’ex-Premier ministre serait désormais victime d’une nouvelle pathologie qui atteint son visage…
Vers la fin de son mandat de Premier ministre, en juin 2020, Édouard Philippe apparaît en public, la barbe bizarrement striée de blanc par endroits. « Lance-t-il une mode ? » se demandent alors les plus moqueurs des observateurs de la politique. Le désormais chef de file du parti Horizons coupe donc court à toute rumeur en invoquant un vitiligo, maladie bénigne touchant aléatoirement l’épiderme et, par voie de conséquence, les poils qui y prennent racine. Le stress serait à l’origine de sa maladie, une opinion assez partagée par les dermatologues.
Stress chronique
Deux ans plus tard, Édouard Philippe arbore une barbe intégralement blanche, ce qui confère à son visage un aspect plus « normal ». Oui, mais voilà, comme il l’a confié à nos confrères du Parisien, le 9 octobre, un autre coup du sort frapperait l’ex-Premier ministre. Il serait atteint d’alopécie, une maladie auto-immune qui provoque la chute accélérée des cheveux et des poils.
Victime de cette affection (plus rare chez les femmes), Jada Pinkett Smith en a fait involontairement la publicité lors des derniers Oscars où son mari, Will Smith, a frappé Chris Rock, l’animateur de la soirée qui avait brocardé sa calvitie naissante…
Chez Édouard Philippe, l’alopécie se caractérise par la perte… de ses sourcils ! « Je me suis longtemps demandé à quoi servait un sourcil, a-t-il confié au Parisien, non sans humour. Eh bien, cela sert à se faire remarquer quand ça tombe ! » Quant à l’alopécie, il précise qu’elle n’est « ni douloureuse, ni contagieuse, ni dangereuse ».
S’il assure qu’il n’y a aucun lien avec son vitiligo, on peut tout de même supposer une cause commune aux deux affections : un stress chronique, souvent lié aux pathologies de cette nature. On sait aussi qu’Édouard Philippe est un homme pressé, sur les rangs pour succéder à Emmanuel Macron à l’Élysée. De quoi se faire des poils blancs. Voire en perdre !
Louis-Paul CLÉMENT
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