Depuis que le médecin d’Elizabeth II a tiré la sonnette d’alarme, on ne voit plus de la même manière les images de sa dernière apparition.
Ce jeudi 8 septembre, les médecins de la reine Elizabeth II ont annoncé qu’ils étaient inquiets à propos de son état de santé. C’est la première fois que Buckingham Palace laissait filtrer des informations plutôt inquiétantes au sujet de la reine. « Après une nouvelle évaluation ce matin, les médecins de la reine sont préoccupés pour la santé de Sa Majesté et ont recommandé qu’elle reste sous surveillance médicale. La reine continue à se sentir à l’aise et reste à Balmoral », a annoncé le palais ce jeudi dans un bref communiqué.
Jugée trop faible, la reine d’Angleterre n’a donc pas fait le déplacement pour accueillir la nouvelle première ministre Liz Truss mais a quand même pu la recevoir dans son château de Balmoral en Écosse le 6 septembre dernier. Des images diffusées par le palais ont montré la souveraine de 96 ans, souriante et s’appuyant sur une canne, serrant la main de la nouvelle dirigeante devenue le quinzième chef de gouvernement de ses 70 ans de règne. Mais un détail en disait long sur l’état de santé de la reine : cet énorme bleu sur la main, qui peut être dû à une perfusion…
Depuis que la terrible nouvelle est tombée, les membres de sa famille se sont mis en chemin pour se rendre à son chevet. Son héritier le prince Charles, 73 ans, et son petit-fils William sont actuellement en route pour Balmoral, ont indiqué nos confrères du Guardian. Une information confirmée par le porte-parole du Palais de Kensington. « Le Duc de Cambridge se rend à Balmoral », a-t-il indiqué. Malheureusement, Kate Middleton n’a pas pu les rejoindre pour le moment mais devrait se mettre en chemin une fois les enfants récupérés à l’école afin de ne pas les paniquer spéculent certains tabloïds. Meghan Markle et le prince Harry seraient également en route. Quant à Liz Truss, qui fait partie des dernières personnes à avoir vu la reine, elle a déclaré que tout le pays était préoccupé par son état de santé après le message alarmant des médecins.
Laure Bertrand
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