EXCLU – Hélène de Fougerolles, bientôt 50 ans : elle dit stop à “l’obligation de faire jeune” !

À l’affiche de la nouvelle série de France 2, Et la montagne fleurira, le 29 août prochain, Hélène de Fougerolles s’est confiée à Gala, en kiosques ce jeudi 25 août. L’actrice y évoque son rapport à l’âge et au temps qui passe.

Prendre de l’âge est pour certaines célébrités une véritable crainte. Dans le cinéma, les actrices sont parfois reléguées au second plan dès leurs 40 ans. Heureusement, le vent tourne et les mentalités changent. À l’affiche de Et la montagne fleurira, la nouvelle minisérie de France 2, dont les deux premiers épisodes seront diffusés ce lundi 29 août, la comédienne Hélène de Fougerolles a accepté de se confier à Gala, en kiosques ce 25 août. À 49 ans, la Bretonne n’a pas peur de se voir vieillir. “Je n’ai plus envie d’être en quête d’une espèce de jeunesse éternelle totalement illusoire. Et si un jour je devais arrêter ce métier, ce serait à cause de ça, cette obligation de faire jeune, d’être jugée”, a-t-elle ainsi dénoncé dans nos pages.

Dans la suite de son interview, la vedette de Balthazar se désole de l’influence de la société sur les jeunes femmes, qui démarrent de plus en plus tôt des interventions esthétiques sur leurs corps. “Aujourd’hui, il y a des gamines de 20 ans qui font déjà des injections !, déplore-t-elle. À l’été 2020, l’actrice était à l’affiche de Trop jeune pour moi, un téléfilm dans lequel elle interprétait Doria, une femme se trouvant au tournant de sa vie et qui, lors d’un voyage à l’île Maurice, rencontre un homme de vingt ans de moins qu’elle.

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La mère de Shana avait alors salué le scénario qui démystifiait en quelque sorte la question de l’âge chez la femme. “Toute ma vie a tourné autour de cette idée de ressembler à ce que je pensais que l’on attendait de moi. Je me suis mis dans la tête qu’il fallait que je ressemble à une certaine image pour être aimée”, avait-elle confié à Paris Match.

“J’ai aimé vivre mon désir librement” : Hélène Fougerolles revient sur le polyamour

Récemment partie s’installer dans le Luberon, en Alpes-de-Haute-Provence, après de longues années passées à Paris, Hélène de Fougerolles affirme être devenue “quelqu’un d’autre”. L’occasion de revenir sur sa vision du polyamour – le fait d’entretenir plusieurs relations amoureuses en même temps, avec le consentement de chacun des prétendants – dont elle était un temps coutumière.

En novembre 2020, l’actrice estimait au micro d’Europe 1 que le polyamour rendait à chacun la liberté que la monogamie empêche. Vous mettez toutes vos attentes sur la même personne qui, la pauvre, doit rentrer dans toutes les cases. Et vous devez remplir toutes ses cases en retour. C’est très compliqué”, avait-elle argumenté avant d’expliquer ce qui lui plaisait dans cette nouvelle manière d’aimer. “Les histoires de territoire n’existent plus quand on est polyamoureux, on n’appartient plus à quelqu’un. On aime quelqu’un pour ce qu’il nous apporte, pas parce qu’il nous appartient”, avait-elle pointé. Aujourd’hui, l’interprète de Jeanne Poisson, marquise de Pompadour, ne chante plus le même refrain dans nos colonnes.

“Je suis passée à autre chose”, révèle-t-elle ainsi. “Mais j’ai aimé ne plus être obligée de rentrer dans ce schéma imposé qu’est le couple à deux, ne plus être sur un mode de possession avec son corollaire qu’est la jalousie, et vivre mon désir librement”, a toutefois précisé celle qui admet désormais “adorer être seule”.

Notre interview de Hélène de Fougerolles est à lire en intégralité dans le nouveau numéro de GALA, en kiosque ce jeudi 25 août ou disponible en cliquant ici. Vous pouvez aussi recevoir GALA chez vous chaque jeudi en profitant d’une offre d’abonnement Sans Engagement !

Crédits photos : PATRICK BERNARD / BESTIMAGE

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  1. Hélène de Fougerolles

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