« Tout est plus dur » : Laurence Boccolini se confie sur les attaques sexistes reçues

Auprès du Parisien, dimanche 19 juin, Laurence Boccolini a fait des confidences sur les nombreuses critiques reçues au cours de sa carrière et notamment sur les attaques sexistes très brutales qu’elle a dû essuyer.

A propos de


  1. Laurence Boccolini

Interviewée dans les colonnes du Parisien, ce dimanche 19 juin, Laurence Boccolini est revenue sur sa carrière à la télévision, mais aussi à la radio et sur ses projets, que ce soit dans la musique ou dans la fiction. Auprès de nos confrères, la présentatrice de Tout le monde veut prendre sa place a également évoqué les nombreuses critiques qu’elle a pu recevoir depuis qu’elle est connue, mais surtout depuis qu’elle a succédé à Nagui aux commandes du jeu télévisé de France 2.

Catégorique, la maman de Willow a assuré que « tout est plus dur » quand on travaille sur le petit écran et qu’on est une femme, et ce, « physiquement comme moralement ». « Les attaques sont beaucoup plus directes et franches », a affirmé Laurence Boccolini, en précisant : « Ce qu’on a dit de moi et sur moi, on ne l’aurait jamais fait avec un homme. » Elle a souligné que « plusieurs animateurs [le lui] ont signalé ». Depuis qu’elle présente des émissions, l’ex-femme de Mickaël Fakaïlo s’est ainsi rendu compte qu’elle n’avait pas que des soutiens. À l’époque du Maillon faible et de Money Drop, on l’a d’ailleurs, « à chaque fois, donnée perdante ». Malgré les nombreuses personnes qui l’ont rabaissée sur son chemin, que ce soit des membres de la profession ou des téléspectateurs non satisfaits, elle a su se faire confiance et avancer, la tête haute.

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Réussir à « s’accrocher », quoi qu’il arrive

« Je savais où j’allais, que je pouvais bien le faire, que j’avais travaillé pour », a expliqué Laurence Boccolini, qui a donné un conseil à ses futures consœurs : « Il faut s’accrocher et réussir à convaincre. » De plus, l’animatrice a quitté TF1 pour France 2 et, même si elle s’y sent bien, elle a dû accepter d’être moins payée. « L’argent n’est pas un moteur. Je gagne ma vie, mais il faut diviser par cinq ou six par rapport à un prime sur TF1… Mais je ne peux pas faire les choses si je ne prends pas de plaisir ou si je ne travaille pas avec des gens que j’aime bien », a-t-elle affirmé en toute honnêteté.

Article écrit avec la collaboration de 6Medias

Crédits photos : Jacques BENAROCH/SIPA

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