Ce mercredi 15 juin, Valérie Trierweiler a retrouvé une personne chère à son coeur : sa mère Jeannie. Un instant que l’ancienne compagne de François Hollande a souhaité immortaliser et partagé sur les réseaux sociaux. Pour le plus grand bonheur des internautes !
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Valérie Trierweiler
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Entre son travail aux Grosses Têtes et ses autres engagements, Valérie Trierweiler n’a pas toujours le temps de profiter des siens. Du moins, peut-être pas autant qu’elle le souhaiterait. Ce mercredi 15 juin, elle s’est accordée une pause dans son emploi du temps chargé pour passer un peu de temps avec sa maman. Mère et fille se sont retrouvées, autour d’un verre, attablées à une terrasse parisienne. Un moment important que l’ex-compagne de François Hollande a eu envie d’immortaliser : « Mère et fille. Vous la voyez la ressemblance ? Petite pause avant d’assister à l’excellente pièce de Laurent Ruquier, Un couple magique, avec les amis des Grosses Têtes, Valérie Mairesse, Jeanfi Janssens, Stéphane Plaza. Allez y avant le 17 juillet« , a-t-elle écrit en légende ce tendre cliché.
De leur côté, les abonnés de Valérie Trierweiler ont sans surprise été attendris par cette photo, aussi rare que touchante : « Oh que oui, la beauté vient de votre maman. On comprend mieux maintenant », « Ravissante photo !!! Merci Valérie pour le partage », « Elle est très belle votre maman… Prenez bien soin d’elle tant qu’elle est encore là, bises à vous deux » ou encore « Toujours aussi élégante et classe Valérie, mais je vois que vous tenez cela de votre maman », a-t-on pu lire parmi les commentaires, tous plus élogieux les uns que les autres.
>> PHOTOS – Valérie Trierweiler : ces hommes qui ont compté dans sa vie
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Jeannie Massonneau, une femme très discrète
Contrairement à sa fille, Jeannie Massonneau s’est toujours fait très discrète. En 2012, contre toute attente, la mère de Valérie Trierweiler a ouvert ses portes à nos confrères du Parisien. Cette dame, décrite comme « digne et vive » par le quotidien, a alors accepté de faire quelques confidences sur sa progéniture : « Valérie était une petite fille très féminine, très poupées, un peu précieuse même« , s’est souvenue sa mère, évoquant les cours de cuisine, de poterie et de natation qu’elle a reçus étant enfant. En grandissant, son caractère s’est affirmé. Sa confiance aussi. « Au lycée, l’adolescente devenue très séduisante et consciente de l’être cherche à se faire toujours plus belle« , ont écrit nos confrères. Sa mère, elle, ne l’imaginait pas vraiment journaliste politique mais plutôt « critique de mode« : « En classe de première, elle avait dessiné le patron d’une petite robe noire et orange que j’ai cousue sur ma machine. La robe a fait fureur. » Si elle a un temps songé à devenir « avocate ou juge des enfants« , son père l’a finalement fait changer d’avis. À 18 ans, déterminée, Valérie Trierweiler a ainsi quitté Angers pour rejoindre la capitale et tenter de devenir journaliste. La suite de l’histoire, on la connaît…
Crédits photos : BEST IMAGE
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