Léa Salamé richissime ? Sa famille a la tête d’une entreprise de diamant florissante, découvrez qui sont ses célèbres oncles…

Léa Salamé ne nous a pas tout dit sur sa vie privée. En effet, ses oncles sont de très célèbres hommes d’affaires.

Il y a quelques jours de cela, Léa Salamé a dû faire ses adieux à son collègue Laurent Ruquier. Ce dernier a rendu le tablier et a quitté On est en direct. Si elle lui a adressé un émouvant discours pour son départ, elle n’a pas toujours travaillé de cette manière là.

En effet, la journaliste a été lourdement draguée par un homme politique à ses débuts. « Les femmes de 40 ans sont à l’acmé de leur vie, de leur beauté, de leur puissance. Je n’avais pas du tout compris. J’avais l’impression qu’il me disait qu’à 25 ans, j’étais moche ! Il n’y avait aucun harcèlement, mais une forme de drague appuyée » a raconté Léa Salamé dans le podcast InPower.

Mais certains ne le savaient peut-être pas que du côté de sa famille, il y a tout un empire. En effet, sa mère Mary Boghossian est la sœur des diamantaires Jean et Albert Boghossian. Tout a commencé au début du 20ème siècle lorsque leur clan arménien s’est installé au Liban pour se lancer dans le commerce des pierres précieuses.

De son côté, Albert Boghossian qui fait partie de la troisième génération de diamantaires s’est installé à Genève dans les années 80 pour poursuivre dans son héritage. « J’ai choisi Genève pour m’installer en 1980 car, à l’époque, c’était la place émergente dans le commerce des pierres précieuses. C’était l’endroit idéal pour moi, au carrefour de l’Orient et de l’Occident. C’est un métier magique qui ne s’apprend pas tellement. La meilleure école est celle de l’expérience (…) Nous ne voulons pas être comme les autres. Au fil des ans, j’ai eu la chance de rencontrer de grands collectionneurs privés. Grâce à leurs commandes spéciales, j’ai réalisé des bijoux d’exception qui m’ont permis de repousser mes limites » a-t-il confié à Bilan.

Passionné par son métier, il a commencé avec un stage en tant que tailleur d’émeraudes. Très inspirés par l’art indien, les deux frères offrent des bijoux uniques que ce soit les différentes tailles de pierre ou la superposition avec du bois. Pour vous faire un ordre d’idées, ils ont vendu un diamant rose de 20 carats vendu 30  millions de francs à un collectionneur asiatique en 1997. Avec leur propre collection de bijoux, le duo effectue plus de 500 ventes par jour. De quoi être à la tête d’une très belle fortune.

GZ

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