Alors que Cyril Hanouna recevait le tiktokeur Benjamin Ledig, Bernard Montiel s’est emporté contre le jeune homme qui a récemment fait polémique en annonçant vouloir twerker dans une mosquée.
Bernard Montiel a eu du mal à se retenir. Après avoir déclenché une première polémique en allant twerker dans une église, Benjamin Ledig a de nouveau fait parler de lui en annonçant récemment sa volonté d’aller danser dans une mosquée. Populaire sur le réseau social TikTok, le jeune homme de 18 ans n’a pas manqué d’éveiller la colère de nombreux internautes, recevant notamment de nombreuses menaces de mort. Pas de quoi toutefois l’effrayer, lui qui revendique fièrement son twerk, malgré la demande du diocèse de Paris de supprimer la vidéo. Ce que le principal intéressé refuse, prétextant sa volonté de "dénoncer l’homophobie", alors qu’il compte refaire la même chose dans un autre lieu de culte.
Invité sur le plateau de Touche pas à mon poste, mardi 1er mars, Benjamin Ledig a démenti vouloir "faire le buzz". "Je ne dois de justification à personne. Je l’ai dit, j’en ai juste rien à f*utre de la religion (…) je revendique, le droit au blasphème", a-t-il ainsi lancé. Si Mohamed Derradji, ancien candidat de Koh-Lanta ou encore l’abbé Alain Maillard de La Morandais se sont exprimés à propos de cette affaire, Bernard Montiel lui, n’a pas mâché ses mots pour dire ce qu’il pense du jeune homme. "C’est insupportable depuis le temps qu’on le reçoit. Il raconte n’importe quoi. Il arrête pas de mentir. C’est un gros conn***", a ainsi lâché le chroniqueur, qui précise que selon lui, "c’est tout simplement un petit c**".
Bernard Montiel : "Ce qu’il fait est choquant"
En revenant sur les menaces de mort dont Benjamin Ledig, et sa famille, font l’objet, Bernard Montiel l’a accusé d’être "responsable", se disant même "désolé pour [ses] parents". "Je suis contre la violence, je suis désolé de ce qu’il vous arrive, mais vous le provoquez (…) Ce qu’il fait est choquant et fait du mal à un tas de gens. C’est un jeune, il s’amuse (…) Tout le monde a été délicieux avec lui, et le lendemain, il recommence", a-t-il ainsi dénoncé, soutenu dans sa réflexion par de nombreux chroniqueurs. Toutefois, Kelly Vedovelli et Gilles Verdez ont tenu à prendre la défense de l’invité, dénonçant la "violence verbale" du chroniqueur. "Il provoque, on peut le juger comme on veut mais la manière dont vous lui parlez, c’est l’exposer à des risques (…) je trouve qu’il faut le protéger", a confié le journaliste.
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