Laeticia Hallyday dit adieu à La Savannah, la maison où Johnny est mort…

Cinq années après la mort de Johnny Hallyday, sa dernière femme Laeticia Hallyday se sépare de la demeure du chanteur, qu’il avait baptisée La Savannah. D’après les informations du magazine Closer, la dernière femme du chanteur doit finir de vider les lieux d’ici quelques semaines.

Derniers adieux. Dans la nuit du 5 au 6 décembre 2017, Johnny Hallyday s’éteignait dans sa demeure des Hautes-de-Seine, La Savannah. Le célèbre rockeur l’avait baptisé ainsi au moment de son achat en 1999. Ce lieu, témoin des derniers instants de vie de l’artiste belge, est aujourd’hui vendu. Selon les informations du magazine Closer, la villa achetée pour 5 millions d’euros a été mise en vente par Laeticia Hallyday pour la modique somme de 15 millions d’euros. Un prix d’appel qui a finalement diminué d’un tiers : l’acheteur a obtenu le bien pour une valeur de 10 millions d’euros. La somme colossale devrait permettre à la veuve du chanteur d’éponger les dettes, tout aussi monumentales, que son mari a laissé derrière lui.

D’après nos confrères, les murs ont été cédés en janvier 2022, et la petite famille Hallyday a désormais jusqu’à mai prochain pour vider les lieux. Ce n’est pas le premier logement dont l’actuelle compagne de Jalil Lespert doit malheureusement se séparer : en septembre 2020, elle a vendu leur villa de Pacific Palisades à Los Angeles pour un montant de 11,5 millions d’euros, toujours selon les informations de Closer. L’interprète d’Allumer le feu l’avait fait construire en 2010.

Des dettes “entre 30 et 34 millions d’euros

Malgré l’héritage important de celui avec qui elle a vécu 21 ans, la mère de Jade et Joy doit régler une série de dettes colossales laissées par son époux au fisc français. D’après le site économique Capital, le montant s’élèverait “entre 30 et 34 millions d’euros”. “Il y a du patrimoine, peu de trésorerie et beaucoup de dettes”, avait confié la belle-mère de Laura Smet et David Hallyday.

Seule solution pour l’ancienne mannequin, faire jouer la procédure dite de sauvegarde. Cette dernière permet à une personne de geler ses dettes, mais également les actions en justice des créanciers. Au cours de cette période de sursis, la future mariée peut proposer l’étalement du remboursement des dettes de son défunt mari, et ce, jusqu’à dix ans.

Article écrit en collaboration avec 6Médias

Crédits photos : JACOVIDES-BORDE-MOREAU / BESTIMAGE

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