Victime d'une erreur de l'administration, elle doit prouver qu'elle est bien vivante

Le 14 février dernier, une habitante bretonne a eu la désagréable surprise d’avoir un appel de son banquier lui indiquant qu’elle était décédée pour sa caisse de retraites.

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Vivante, mais décédée pour l’administration. Cette habitante de Clohars-Carnoët, dans le Finistère, a dû bien s’accrocher à sa chaise quand son banquier lui a passé un coup de fil le 14 février dernier, raconte Ouest-France. En effet, du jour au lendemain, elle n’existe plus aux yeux de l’administration… puisqu’on la croit morte. Au téléphone, son banquier lui explique qu’il a été informé de son prétendu décès par sa caisse de retraite. Il s’agit bien évidemment d’une erreur puisqu’elle est au bout du fil.

Le début du cauchemar pour Annie qui se retrouve seule contre tous : « À moi de me débrouiller pour dire que je suis vivante », concède-t-elle désabusée dans Ouest-France. « Tout est bloqué, je n’existe plus nulle part. » En effet, aux yeux de la Sécurité sociale, de la mutuelle, et donc de sa caisse de retraite, elle est décédée. Une seule solution : prouver qu’elle vit encore. Lire la suite sur Capital.fr, notre partenaire, droit, retraite, argent.

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