“Arrêtons de jouer à se faire peur“: Gérald Kierzek rassurant sur le variant Deltacron

Le 16 février dernier, Gérald Kierzek s’est confié à Doctissimo sur la récente découverte d’un tout nouveau variant. L’occasion pour le médecin-urgentiste de partager un point de vue pour le moins rassurant.

Face à la découverte d’un nouveau variant, Gérald Kierzek se montre, comme à son habitude, très rassurant. Le médecin-urgentiste de 48 ans s’est épanché auprès du site Doctissimo – dont il est le directeur général -, mercredi 16 février, afin de partager son avis sur le variant Deltacron recensé le 11 février dernier à Londres.

Interrogé par le Daily Mail, Paul Hunter, expert en maladies infectieuses à l’université d’Est-Anglie, avait indiqué que ce nouveau variant « ne devrait pas représenter une grande menace« . Un avis également partagé par Gérald Kierzek qui, après avoir rappelé que “les virus mutent”, s’est ensuite épanché sur ce nouveau variant. “Évidemment, nous ne sommes pas à l’abri de l’apparition d’un nouveau variant. Mais il faut élargir la focale et arrêter de s’arrêter sur le moindre nouveau variant”, a-t-il fait remarquer, avant de conclure : »Arrêtons de jouer à se faire peur. »

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Gérald Kierzek, favorable à l’arrêt des masques

Face aux restrictions imposées par le gouvernement, Gérald Kierzek ne mâche jamais ses mots pour les critiquer. Interrogé par le Figaro, le 15 février dernier, l’urgentiste de l’info avait alors partagé son avis bien tranché sur la vague Omicron. “D’un point de vue médical, il n’y a plus de raison de garder des mesures à l’efficacité douteuse ou non formellement démontrée, a fortiori dans un contexte épidémique qui ne doit plus nous inquiéter”, avait-il d’abord expliqué.

Et d’ajouter, non sans étriller les décisions du gouvernement : “Nous faisons face à un virus respiratoire qu’il est illusoire de vouloir stopper avec des masques.” Ayant pris pour exemple certains pays voisins, comme le Royaume-Uni, qui ont cessé d’imposer le masque, Gérald Kierzek avait ainsi partagé par la même occasion que le pic épidémique était “derrière nous”.

Crédits photos : Pierre Perusseau / Bestimage

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